JE COMMENCE LE PROCESSUS D'ÉPILATION DEMAIN. VRAIMENT DEMAIN. (A)
Dernière mise à jour : 8 oct. 2021
Je commence le processus d’épilation définitive demain. Vraiment demain.
Et vous, comment imaginez-vous l’épilation ?
Mon rapport à l’épilation.
Je suis tombée dans la marmite (de cire) quand j’avais 13 ans. Une longue histoire d’amour et de haine ensuite, faite de recherche de la meilleure technique pour chaque zone. Cire à bandes du commerce, cire en pot pour micro-ondes, appareil professionnel à cire chaude, appareil roll-on à cire tiède à bandes, pince à épiler, épilateur… Rdv chez l’esthéticienne : cire orientale, cire chaude, cire à bandes.
En début d’adolescence je cherchais à ne pas passer le cap tout de suite, par peur de la douleur pour certaines zones mais aussi pour les jambes par exemple par peur du fameux risque de « transformer le duvet en poils drus et noirs ». Mes recherches sur internet depuis ne m’ont d’ailleurs pas permis de trouver l’explication à ce phénomène, ni même d’être sûre de son existence… Une chose semble certaine : le rasage ne permet pas de réduire la pilosité sur le long terme alors qu’avec l’épilation pendant plusieurs années, les poils s’amoindrissent.
Pour repousser le passage à l’acte douloureux donc j’ai tenté la crème dépilatoire, les rasoirs bien sûr, la crème décolorante. Et finalement l’inévitable s’est produit avec dans un premier temps la cire froide comme outil révolutionnaire.
Aujourd’hui après plusieurs années à enchaîner les RDV en institut et à recharger la batterie de mon épilateur électrique, je me lance enfin : je commence le processus d’épilation définitive.
Ça fait plusieurs années que je tourne autour du pot. Quand je dis plusieurs années ç’est vraiment plusieurs : je viens de fêter mes 29 ans et j’avais reçu la participation à ces séances de laser pour mes… 22 ans.
Plusieurs freins pour moi : le prix évidemment, la douleur, mais surtout la peur du laser et de ses éventuels effets secondaires sur ma santé. Rien de prouvé, juste ces petites intuitions infondées qu’on peut avoir en tant que non scientifiques inquiets de ce qu’on ne maîtrise pas vraiment. Suite à cette inquiétude j’avais décidé de ne faire que la zone des jambes, parce qu’elle me semble être éloignée de tout organe vital interne.
Mais Astrée, qui d’ailleurs m’avait interrogée sur le thème de l’épilation dans l’émission spéciale d’interview inversée, s’est mise à cette épilation définitive il y a plusieurs mois et m’a convaincue : plus besoin d’y penser.
À quoi ?
À NOS POILS !
Et cette idée-là, moi dont l’esprit retombe sur ce sujet MINIMUM une fois par jour depuis une quinzaine d’années, me séduit beaucoup. Pas de contraintes vestimentaires liées au stade de pilosité, pas de RDV en institut à caser, plus d’argent à dépenser pour un résultat toujours éphémère lié à ce phénomène insupportablement cyclique. C’est comme la vaisselle : on la nettoie pour la salir à nouveau et encore la nettoyer. Si je peux retirer de ma charge mentale cette activité qui n’apporte rien d’autre qu’un résultat, alors c’est partiiiiii !
J’ai RDV ce mercredi pour la première séance d’explication.
À suivre...
Et vous, comment imaginez-vous l’épilation ?
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